4 février 2018
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Venelles étroites de tes poignets
Qui ondoient à chaque fois
Que tu oeuvres à ceci ou cela
Attaches fines au goût d’airelles
Leurs veinules palpitant sous la peau
Diaphane, ô douceur coquelicot !
Tes poignets libellules irisent le temps à vivre
Lianes miroitant dans l’espace ravivé
Le jour se fait souffle sur tes allées
Ô rivages délicats de sable fin
Voies célestes, ô jouvence
Seuils vers l’infini
Faons blottis dans les forêts de mon coeur !